si vous avez envie de recevoir un petit cadeau,

juste comme ça, c'est par ici que ça se passe !!

chez Vie jolie

moi j'adore  ces bracelets liberty

alors je pense que je vais aller jouer !!!

on a jusqu'au  3 avril

Bonne chance à vous toutes!

  deux blog ou  on peut gagner de belles créas  et en mème temps

parcourir ces blogs remplis de magnifiques créations faites

 par ces deux copinettes

Chez Armonyann, une Hello Kitty à gagner, faite de ses petites mains:

Participation jusqu'au 2 mai.

Chez Manucréa, un lot de fimoteries spécialement créé pour le scrap:

Participation jusqu'au 11 avril

je vous laisse je vais m'inscrire 

Bonne chance à toutes!

    Petite info :

France 2 va  rendre  hommage ce soir à 22h15

dans l'émission " un jour  un destin"

bonne soirée  à toutes bisous

Encore une grande dame qui nous quitte

L'actrice Annie Girardot, atteinte depuis des années de la maladie d'Alzheimer, est morte lundi 28 février à l'âge de 79 ans. Elle s'est éteinte "paisiblement" à l'hôpital Lariboisière à Paris, a annoncé sa petite-fille Lola Vogel.

Les hommage de Claude Lelouch et de Bertrand Blier :

Claude Lelouch, qui l'a dirigée à plusieurs reprises, a rendu hommage à la comédienne, "peut-être la plus grande actrice du cinéma français d'après-guerre" selon lui. "Elle restera mon plus beau souvenir de réalisateur et d'homme", a-t-il ajouté.

Le cinéaste Bertrand Blier, qui l'avait dirigée dans Merci la vie, en 1990, s'est souvenu avec émotion d'une personne "tellement drôle et douloureuse à la fois.

Née le 25 octobre 1931 à Paris, elle intègre la Comédie-Française 

 en 1954 pour interpréter notamment La Machine à écrire,

de Jean Cocteau, en 1956. Elle jouera Madame Marguerite, pièce avec laquelle elle connaît un triomphe en 1974, et qui était son rôle fétiche, Elle l'a reprenait  régulièrement jusqu'en 2002.

Elle fait ses débuts au cinéma avec Treize à table d'André Hunebelle, en 1955. Rocco et ses frères, de Luchino Visconti (1960) qui  lance véritablement sa carrière sur le grand écran. 

 elle s'illustre notamment dans

Dillinger est mort (1969) de Marco Ferreri,

Vivre pour vivre de Claude Lelouch (1967),  "

Mourir d'aimer" d'André Cayatte (1971).

La comédienne devient l'une des actrices françaises les plus populaires des années 1970, alternant comédies et mélodrames. 

 Elle reçoit en 1977 le César de la meilleure actrice pour Docteur Françoise Gailland : Mourir d'aimer, l'histoire d'un jeune garçon amoureux

de sa professeure Gabrielle Russier

l'obtention en 1996 d'un César de la meilleure actrice dans un

second rôle pour Les Misérables de Claude Lelouch.

 En 2002, elle obtenait un troisième César pour son interprétation

de mère étouffante dans La Pianiste de Michael Haneke.

En 2006, son avocat révélait qu'elle était atteinte de la maladie

d'Alzheimer. Sa fille, Giulia Salvatori, qui a beaucoup témoigné

sur la maladie de sa mère, a publié en 2007, avec le journaliste

Jean-Michel Caradec'h,

une biographie intitulée La Mémoire de ma mère, où elle consigne les souvenirs de l'actrice.

   Rocco et ses frères
Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais... elle cause !
Mourir d'aimer
La Zizanie
Les Misérables
La Pianiste

 Les Français s'en souviennent comme d'une actrice qui avait joué dans beaucoup de comédies. Elle avait pris un virage très populaire après Rocco et ses frères. Mais elle était pleine d'émotion et de souffrance. Elle craquait facilement, comme sur la scène des Césars".